Un festival en pleine dynamique. Quarante personnalités, organisateurs de festivals, chefs et responsables d’orchestres, compositeurs, partenaires, pédagogues, ou encore directeur d’université représentant huit pays du monde… Le congrès international des Eurochestries a réuni du monde au château de Meux et à Jonzac, à l’occasion de trois journées de travail et d’un concert d’ouverture à l’église Saint-Gervais.
De la Chine au Brésil, en passant par le Québec, la Russie, l’Écosse, la Finlande, l’Espagne et la France, «tous étaient animés par la volonté de développer les Eurochestries à travers le monde, pour permettre à un large public et au plus grand nombre de jeunes musiciens de participer à ces belles aventures humaines et musicales», précise le président Claude Révolte.
«Elles ont bien failli disparaître mais, sous l’impulsion de Claude Belot qui m’a confié la mission de les faire renaître, elles ont ensuite migré vers la Haute Saintonge dix ans plus tard, après une année de restructuration», ajoute le président.
«Il était donc naturel d’organiser, pour ses vingt-cinq ans d’existence, le congrès 2014, ici», précise Claude Révolte.
Depuis, le réseau continue à se structurer et à se développer, avec également des concerts, des tournées et des master class organisés en France et à l’étranger.
D’autres thèmes ont été abordés, comme la préparation du 25e anniversaire des Eurochestries à travers la préparation d’un livre souvenir, par exemple.
Organisé avec l’appui de l’association Eurochestries Charente-Maritime pour l’accueil des participants, «ce congrès a mobilisé une quinzaine de bénévoles et une vingtaine de familles d’accueil, tous enchantés d’avoir partagé des moments de convivialité avec des personnes du monde entier, et de leur avoir fait découvrir le patrimoine, les produits régionaux et notre sens de l’hospitalité», conclut Claude Révolte.
Résumé art Colette Macintos de Sudouest