Depuis 2009, le centre hospitalier de La Rochelle figure dans la classe B du tableau de bord national. Il n’a cessé de progresser dans le classement depuis 2006 et le début de la publication des indicateurs relatifs à la lutte contre les infections nosocomiales.
La performance de l’organisation, le bon usage des antibiotiques, l’utilisation des solutions hydroalcooliques, le nombre de patients porteurs de staphylocoques dorés multirésistants aux antibiotiques et l’existence d’un dispositif de surveillance des infections de site opératoire sont évalués, notés et permettent ensuite d’établir un classement général.
Ce qui a été réparé en 2008 puisque la clinique Richelieu de Saintes, la clinique de Rochefort, la polyclinique de Saint-Georges- de-Didonne et la clinique de l’Atlantique à Puilboreau ont quitté cette «liste noire» pour rejoindre le troupeau des «classables», certains même avec bonheur comme la clinique Richelieu de Saintes, dotée d’un excellent score.
Certains sont restés au top, comme le petit hôpital de Saint-Pierre-d Oléron, déjà classé A en 2007 ; d’autres progressent lentement mais progressent malgré tout comme l’hôpital de Royan, toujours classé C mais qui est passé d’une note de 50,78 à 61,50 en trois ans.