L’école existe toujours et la mairie trône à quelques mètres.Mais ce qui attire l’oeil, c’est cette grande maison charentaise construite en bordure de route.Une plaque y est adossée où on peut lire les noms de toutes les femmes qui travaillent là .Elles sont psychologue, psychothérapeute, psycho praticienne ou sophrologue et ont décidé de s’associer sous le nom d’Alter Echo.A Saint-Sever-de-Saintonge, petit bourg de 610 habitants situé à quelques kilomètres de Saintes, cela sent bon la campagne.
Toutes ses associées sont arrivées au fur et à mesure.Toutes sont aussi occupées par des interventions extérieures.
Notamment Dominique Lamari qui participe à des formations de son modèle de tri dans l’héritage familial (THF) qu’elle a développé.
Et capter la clientèle en milieu rural, est-ce un souci? Nous avons des clients qui viennent de très loin comme de Toulouse ou de Nantes.
C’est d’ailleurs la moitié de notre clientèle.Ce qui m’a attiré dans ce mode de fonctionnement, c’est la force du groupe.
En se consultant et en s’envoyant des clients en fonction de leurs besoins, ça donne une certaine puissance à la thérapie.
Le fait d’être situé en milieu rural, retiré de la ville, est pour certains un gage de discrétion.
Cette psycho praticienne a rencontré Dominique Lamari en Tunisie et a été séduite par l’approche du centre Alter Echo.