Si cette Saintaise charmante, Adeline Pajot, a choisi ce titre latin Fluctuat Nec Mergitur qui signifie «elle flotte, mais ne coule pas», c’est qu’elle croit en «L’Hermione».Inspirée par le fameux trois-mâts carré, la joaillière a décliné sa ligne de bijoux de plusieurs façons.Ils s’enfilent élégamment sur un lien de couleur ou une chaîne en plaqué or ou argent.Pour parfaire la collection, cette femme de goût a créé aussi les bracelets assortis.
Voilà pourquoi elle a confié sa ligne Fluctuat Nec Mergitur à la boutique de «L’Hermione», à Rochefort en exclusivité.
Car l’aventure d’Adeline Pajot ne fait que commencer.
En effet, cette intrépide a su, avec charme et pugnacité, pénétrer le cercle très fermé de la joaillerie parisienne pour y faire reconnaître son talent.
Elle a ainsi travaillé chez S.T. Dupont, pour qui elle a créé un trophée ; mais aussi chez Philippe Tournaire, joaillier place Vendôme ; ou encore chez un bijoutier qui travaille tant pour Van Cleef que pour Chaumet.
La particularité de la société Pajade, c’est d’être franco-française.
Ce bricoleur perfectionniste et méticuleux, cuisinier de métier, était au chômage.
Il s’est pourtant laissé convaincre et a retrouvé le chemin de l’école puisqu’il finit ses «études» à l’école de joaillerie de Pouzauges (Vendée).
Ainsi, une belle paire est née : la fille crée les bijoux sur de magnifiques dessins à Paris, tandis que le père les réalise pour de vrai dans son atelier de Nieul-lès-Saintes.
Vente en ligne sur www.pajade.com