Au milieu d’une litanie de délibérations à caractère purement formel, quelques dossiers ont émergé du Conseil municipal tenu lundi.La municipalité veut «redonner» aux galeries Botton, boulevard de la Grandière, «le lustre et l’authenticité originelle des années 1950» que le temps a égratigné.La réhabilitation desdites galeries, mais aussi, en parallèle, de l’auditorium a été évaluée à 2 308 000 euros.
La Ville a lancé, en juillet dernier, un «concours restreint de maîtrise d’oeuvre sur esquisse».
Il y a quelques semaines encore, Didier Quentin hésitait sur le choix à faire : appliquer dès septembre 2013 les nouveaux rythmes scolaires ou demander une dérogation pour reporter à 2014 leur entrée en vigueur dans les groupes scolaires royannais.
La municipalité a finalement adopté cette deuxième position.
Royan évalue cet impact à «200 000 euros», selon l’estimation donnée le 15 février dernier en conseil municipal par Didier Quentin.
Plus récemment, la municipalité elle-même a projeté de créer dans cette ancienne supérette une épicerie sociale.
Le projet est resté lettre morte et, s’il ressort des cartons un jour, il ne verra pas le jour dans l’ancien Timy, puisque les élus municipaux ont voté lundi le principe de la démolition pure et simple du bâtiment, trop obsolète visiblement pour se contenter de travaux de rénovation.