A Rochefort, on sait que l «Hermione» fait venir du monde, tout comme Pierre Loti ou les «Demoiselles de Rochefort». Mais il est une autre locomotive que l’on a tendance à oublier, c’est celle de Ville en fête. Pourtant, ce festival des arts de la rue vaut à la ville d’appartenir au réseau international européen, Open Street.
«C’est une association à but non lucratif dont la mission est de promouvoir les arts de la rue», raconte Fabrice Froger, responsable des animations à la Ville, mais aussi directeur artistique et programmateur de Ville en fête.
Aujourd’hui, l’affaire grossit puisqu’Open Street réunit 41 festivals en Europe et 370 membres.
L’intérêt de la nouvelle association, qui a son siège à Bruxelles, c’est aussi d’attirer de l’argent européen.
Car l’Europe veut aider à la circulation des artistes qui vont au-devant du public.
Dans un esprit des arts de la rue, Open Street, c’est aussi une aventure humaine entre différents festivals qui connaissent les mêmes contraintes et les mêmes problématiques.