Au cours des quatre dernières années, 310 logements sociaux ont, en effet, été démolis dans les secteurs du Vallon, de la Fenêtre et des Boiffiers où des chantiers de réhabilitation et de reconstruction sont menés par les bailleurs sociaux dans le cadre, notamment, d’opérations de rénovation urbaine. Plus il y a de monde à reloger, moins il y a de logements sociaux libres. C’est le cas à l’heure actuelle mais de façon provisoire, assure-t-on du côté de la Semis.
«Dans les mois et les années qui viennent, 300 nouveaux logements sortiront de terre à Saintes et dans plusieurs bourgs de la Communauté de communes du Pays Santon», rappelle Christine Mounier.
Assez, en tout cas, pour lancer une campagne de communication sur quinze jours afin d’attirer d’éventuels futurs locataires.
Aujourd’hui, nous en sommes à mille, révèle la directrice de la Semis.
On ne peut plus satisfaire les demandes qui affluent mais cela va changer.
Des affiches disposées dans les «sucettes» de la ville annoncent le contraire. S