En ligne de mire : le Roundup express, un herbicide vendu au grand public dans les jardineries.
Cette bataille, entamée en 2008, pourrait lui offrir un premier épisode victorieux d’ici quelques jours.
Car voilà deux semaines, à la suite d’un dépôt de dossier auprès du Conseil d’État, le rapporteur public a enjoint le ministre de l’Agriculture à réaliser un nouvel examen du désherbant, considérant qu’il contient des substances «actives».
Dans son courrier, nous avions compris qu’il n’avait rien à faire de nos questions.
» Ces fameuses questions brûlent pourtant les lèvres du Saint-Laurentais : «Pourquoi autoriser un produit dont la toxicité n’a pas été réellement testée? S