Nous allons le démolir, puisqu’il nous serait impossible d’obtenir un permis pour reconstruire un bâtiment d’une superficie aussi importante», explique Éliane Ciraud-Lanoue, adjoint en charge des affaires sociales.
Des associations du quartier – on pense tout naturellement au centre socioculturel voisin – ainsi que des bénévoles devraient participer au fonctionnement de ce commerce, qui s’inscrit dans une démarche d’insertion.
Les produits qui seront proposés dans les rayons ne seront pas donnés, mais payants, puisque l’épicerie solidaire n’entend pas se substituer aux distributions faites par les associations caritatives.S