Elle s’étonne aussi d’entendre dire que ce projet n’aura pas d’impact négatif sur les finances de la ville, ni sur l’environnement. Et d’ajouter : «Je ne crois pas au père Noël».
«Mais croyez au père Bono», plaisante le maire. Pierre Demoncourt (UMP) ne veut pas plus croire au père Bono qu’au père Noël.
Dominique Morvant (UMP) vient à la rescousse de son collègue Demoncourt : «Si vous n’avez pas la totalité de la somme demandée, il faudra mettre en sommeil d’autres projets».
Alors, Maxime Bono, qui estime que «l’on parle du sexe des anges», met un terme à cette discussion un peu surréaliste. S