L’an passé, Xynthia était passé par là et cette terrible tempête avait souvent fait fuir les touristes ou, en tout cas, les avait décidés au dernier moment. «Voilà l’illustration pratique de notre capacité à reporter les activités balnéaires vers la découverte du pays intérieur et vers le tourisme de patrimoine et de sites», explique Hervé Bierjon, directeur de l’office de tourisme communautaire.
Qu’à cela ne tienne, le Pays rochefortais offre toujours des alternatives à la plage et au soleil : visite de l «Hermione», de la Corderie (qui a reçu 2 000 personnes par jour) ou des musées, par exemple.
Sans oublier une activité thermale soutenue en juillet et août alors qu’habituellement, l’été enregistre une chute de fréquentation par rapport au printemps et à l’automne.
Du coup, après une bonne avant-saison dès Pâques, l’activité touristique de juillet traduit un regain de notoriété du Pays rochefortais. S