Un projet hôtelier de six chalets en bois dans le jardin de l’hôtel de la Gare, rue Frédéric-Mestreau, est entravé par le plan de prévention des risques inondation (PPRI). Lorsque Chantal Lacorne rachète le fonds de commerce en octobre 2008, la jeune femme foisonne d’idées. «Surtout, on savait que l’on devait mettre l’établissement aux normes d’ici à 2015 pour accueillir des personnes handicapées», précise t-elle.
D’où le projet de transformer l’établissement existant en maison et d’installer six chalets en bois, – cinq chambres et un qui servirait de salle de petit-déjeuner – dans le jardin d’environ 2 000 mètres carrés.
«Nous n’avons jamais vu la gare sous les eaux», certifie-t-il. Bref, pour eux, il n’y avait aucune raison de s’opposer à ce projet.
Du coup, Chantal Lacorne se retrouve, si l’on peut dire, le bec dans l’eau avec l’incapacité d’aménager son établissement pour les handicapés et l’impossibilité de construire dans son jardin. S