Un temps sur la sellette lors de la restructuration des armées, la base aérienne 722 de Saintes a évité le couperet de la fermeture en juillet 2008. Même si, depuis, elle a perdu des personnels dans le cadre de la synergie de la base de défense dont a hérité Rochefort, elle a su rebondir. Cette base-école réaffirme, en effet, puissamment sa vocation pédagogique à travers le baccalauréat professionnel aéronautique qu’elle a ouvert en octobre dernier. Avant d’accueillir les 24 élèves de la première promotion, l’Armée de l’air a investi, de façon conséquente, sur le site de Saintes afin d’assurer à cette nouvelle formation les meilleurs atouts techniques.
Les futurs mécaniciens, qui en sortiront diplômés, auront à travailler, en effet, sur des avions Rafale ou le futur A 400 M, l’avion gros porteur.
«Notre volonté est d’armer nos élèves pour qu’ils abordent au mieux les techniques de maintenance du futur», concluait-il en indiquant que la base école se fixait pour objectif d’obtenir d’ici à un an le label européen de formation aéronautique.
Figure, parmi eux, le lycée Alexandre-Denis de Cerny (Essonne) auprès duquel les responsables de la base aérienne ont recherché un appui pédagogique.
En janvier 2010, Paban et ce lycée, leader de la formation aéronautique en France avec 250 élèves en CAP et bac pro, ont signé un partenariat. S
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