Avec 70 900 heures facturées en 2009, soit une progression de 8,27 % par rapport à 2008, malgré l’installation, localement, d’un autre organisme en cours d’année, l’association d’aide à domicile UNA Assad Val de Seugne (et ses 81 salariés) est bien placée pour mesurer les besoins sur le terrain.
Alors que la reprise économique se fait attendre et que l’agenda social est surchargé, la dépendance est présentée comme le 5e risque à assumer collectivement aux côtés des quatre branches de la Sécurité sociale, la maladie, la vieillesse, la famille et les accidents du travail.
Le maintien à domicile dépend du soutien et de la participation de l’État dans ses choix de santé sociaux.
C’est pourquoi l’association entend développer encore son programme de formation générale et spécifique (dépendances, handicaps, Alzheimer).
En intégrant l’UNA 17 l’année dernière, l’Assad Val de Seugne entendait se fédérer «pour peser plus fort dans la défense des soutiens financiers» qui lui sont nécessaires pour faire face aux besoins de nos aînés. Source