Depuis que l’Europe l’a inscrite au tableau des espèces en voie de disparition – alors que quinze ans plus tôt elle était classée nuisible -, l’ondulante migratrice fait l’objet d’un soin tout particulier. Tout le monde retrousse les manches pour mieux connaître la bête.
Et notamment les pêcheurs de loisir qui ne veulent laisser à personne le soin de démontrer qu’ils sont les premiers protecteurs des milieux aquatiques.
C’est ainsi que la Fédération départementale de pêche, avec un important réseau de partenaires (1), s’est engagée à fond dans une opération de suivi de l’anguille et de la civelle dans la Seudre.
C’est tout l’intérêt d’y mener une étude qui aurait été plus complexe sur un grand fleuve comme la Gironde ou la Charente. Source