Là , des élus concernés par le tracé de la LGV Tours-Bordeaux (126 communes) ont rencontré leurs homologues de Sarthe, Mayenne ou Ille-et-Vilaine, inquiets de voir la future LGV Bretagne-Pays de Loire (57 communes), entre Le Mans et Rennes, «défigurer», sans compensation, les villages traversés…
Les élus des communes rurales «où le train ne s’arrêtera jamais» n’ont pas laissé tomber l’idée d’une redevance versée par les concessionnaires privés aux collectivités locales.
Et, le 27 janvier, jour de questions orales au Parlement, les 183 communes traversées par les deux lignes à grande vitesse enverront au moins un de leurs représentants porter le débat à l’Assemblée Nationale. Source
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