Le promoteur du futur hôtel quatre étoiles du Gabut, déjà propriétaire de deux établissements de luxe à Bayonne et Bordeaux, vient de voir son projet validé une deuxième fois. Après le tribunal administratif de Poitiers, c’est la cour administrative d’appel de Bordeaux qui a rejeté la requête en annulation déposée par l’Association pour la protection du patrimoine rochelais (APPR).
La loi littoral n’est pas plus opérante : l’hôtel s’inscrit «dans le programme de rénovation du Gabut [\u2026] qui constitue une zone déjà urbanisée».
De même que le Plan de sauvegarde et de mise en valeur de La Rochelle invoqué par les opposants : ce n’est pas, expliquent en substance les juges, parce que ce plan a été opportunément modifié par arrêté préfectoral pour permettre la construction de l’hôtel, qu’il y a illégalité.
S’il se réjouit de cette décision, Thierry Gailhac ne s’emballe pas pour autant. S