Après le passage dévastateur de la violente tempête Xynthia, durant la nuit de samedi à dimanche sur des communes du littoral de la Charente-Maritime, la priorité absolue fut le sauvetage des sinistrés.
Ils furent très nombreux, afin de sauver leur vie, à s’être réfugiés, comme à Aytré près de La Rochelle, sur le toit de leur habitation submergée par les flots du fait de la rupture de digues, lorsque l’océan ne franchissait pas allégrement, via la conjonction de la marée haute, du fort coefficient et de la puissance et orientation du vent, ces obstacles construits de la main de l’homme.
Cette nouvelle interrogation s’ajoute à celles déjà mises en débat à propos des digues, de leur entretien et de la présence d’habitations humaines à leurs abords et, plus largement, sur la capacité d’anticiper et de répondre au phénomène météorologique qui avait été dûment annoncé dans sa violence par Météo France.Source