Son gestionnaire, Sita Sud-Ouest, filiale du groupe Suez Environnement, a donc investi 11 millions d’euros dans la création d’un nouveau site, à Bedenac. Une plate-forme de 5,6 ha en bordure de la RN 10 prête à accueillir chaque année quelque 110 000 tonnes de résidus en provenance des incinérateurs de Bordeaux, mais aussi de La Rochelle et Angoulême.
Ce qui ne fait pas l’affaire de Tout l’y faut.
Cette association s’est créée en octobre 2008 dès que le projet a été rendu public.
Elle aurait pu s’appeler «Point trop n’en faut».
Entre carrières et décharges, elle dénonce le «gruyère» que devient à ses yeux cette terre de prés et de bois, avec sa noria de nuisances routières, industrielles, environnementales…
Notre objectif, c’est alerter la population sur les dangers potentiels de cette installation, la pollution de l’air, de la terre et de l’eau, et son impact sur la faune et la flore.
Ni en taxe professionnelle puisqu’il n’y en a plus, ni en emplois puisque, sur les 9 postes annoncés, la plupart seront occupés par des salariés de Clérac.
La Sita Sud-Ouest a acheté 25 hectares alors que la plate-forme des mâchefers n’en occupera que 5. Source
pour les dit”machefers” appellation fausse, voir riom” residus d’incineration d’ordures menageres” le machefer n’est pas toxiquen car etant le bruage de coke dans les fonderies, donc pas de contact avec des produits polluants. le riom produit etant brulé dans un four avec des dechets multiples et provoquant une reaction chimique, qui elle est nocive poue la santé, la nature, et l’eau,
meme VEOLIA dans son abécédére, explique la differance entre dechets inertes et dechets ultimes.
cordialement.
assos.gadef@gmail.com